Ling-en : Régulièrement, je propose à mon assistante Hani de publier des articles ici. N’hésite pas à la suivre sur son blog perso : www.hani.solopreneur.fr
Nageant actuellement en plein dans l’ère de la connexion, nous savons pertinemment l’envergure de l’internet dans la vie. Non seulement, la connectivité est omniprésente dans le monde personnel, mais elle tend à s’imposer comme levier important dans le domaine professionnel (B2B ou B2C). Pourquoi allez-vous me dire ? Tout simplement parce que les clients potentiels ont besoin d’échange réel pour adhérer à une marque ou tout simplement pour être fidèle à une entreprise. Mais pour arriver à ce stade, ils utilisent les médias sociaux pour connaître dans quoi ils s’embarquent. D’où, la nécessité du social selling.
Les réalités en chiffre
D’après une étude réalisée par Forrester, un futur acheteur se charge déjà d’effectuer 70% du processus d’achat avant de contacter un vendeur. Un chiffre, assez parlant parce qu’il est vrai qu’actuellement, faire des recherches en ligne pour plus connaître un produit, une marque ou une entreprise est très facile. Les annonces publicitaires, les appels incessants ou encore les mails promotionnels… n’influence plus (à 100%) les lecteurs.
Afin de cerner le comportement réel des e-acheteurs de notre ère, voyons de près le résultat de l’enquête en ligne réalisée par CCM Benchmark Panel en 2105.
Les tendances des e-acheteurs
L’enquête a dévoilé que 67% des acheteurs en ligne français mènent leur petite enquête via internet avant de se lancer dans l’achat en magasin. Ceci dit, ce chiffre grimpe de 14%, soit 74% des clients potentiels, âgés de 18 à 35 ans, affirment passer par cette démarche avant de faire un achat.
Les conclusions
Ainsi, il est force de constater que les acheteurs utilisent l’internet, notamment l’environnement social, pour se donner une idée d’un produit, d’une marque ou d’une entreprise. Grâce aux nombreuses plateformes de communications, dont les médias sociaux ou encore les blogs, ils regardent des avis des autres consommateurs. Sachant que la décision est facilement influencée par les témoignages et les expériences des autres, il est fort dommage pour une entreprise ou une marque de ne pas profiter de cette brèche pour forger une image ou une bonne réputation.
Le principe du social selling
Comment peut-on définir le social selling ? En fait, il s’agit d’une prospection connectée qui utilise comme seul support d’interaction : les réseaux sociaux. Cette méthode sous-entend une approche sociale, puisque soyons honnête, les acheteurs modernes cherchent des avis, des témoignages et des recommandations sincères.
Vous vous dites sûrement si cette méthode a une réelle répercussion sur le business ? La réponse est oui. Pour appuyer cette réponse, voici 3 chiffres clés :
- Selon une étude réalisée par Forbes, 78% des vendeurs ayant recours aux réseaux sociaux atteignent leur objectif que ceux qui ne le font pas.
- Afin de démontrer l’indispensabilité du Social Selling, IBM a fait le test. Depuis, leur taux de vente a monté en flèche, pour atteindre les 400 %.
- D’après une enquête menée par The Aberdeen Group, 64% des commerciales ayant eu recourent au social selling remplissent leurs quotas.
Il faut bien admettre qu’avec ces 319 millions d’inscrits, en ligne tous les mois, Twitter est une porte ouverte et facile à gérer pour se forger une image de marque en béton, se faire de nouveaux clients et vendre plus rapidement. Il en est de même pour LinkedIn avec 380 millions de membres. De son côté, Facebook recense 1,86 milliard d’actifs tous les mois.
Comment maîtriser le social selling ?
Il est normal de se poser la question : comment arriver à bout du social selling ? La réponse est simple, il faut mettre en place les points suivants :
- La présence sur les réseaux sociaux
- L’activité pour agrandir son réseau
- Le développement de l’image de marque et de la réputation (lien de confiance avec les consommateurs)
- La vente proprement dite
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